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SOUFFRANCES SCOLAIRES (SOS) & HARCELEMENT

Des troubles de l’apprentissage… au décrochage scolaire, quand apprendre devient souffrance

 

Les troubles d’apprentissages sont une grosse source de stress pour les enfants et pour les parents et peuvent vite induire la cristallisation des relations au sein de la famille ou au sein de l’école. La souffrance induite par la « différence » aux yeux des autres élèves ou du professeur, ou au contraire l’indifférence d’un professeur et de l’institution, face à un diagnostic peut être très difficile à vivre pour l’enfant mais aussi pour les parents. L’enjeu est de taille pour les enfants concernés : réussir à l’école sans impacter son estime et sa confiance en soi.

 

Il arrive aussi que nos enfants, adolescents décrochent de l’école … générant l’incompréhension et un stress infini de leur entourage. Les relations familiales se tendent, guidées le plus souvent par la colère, due à cette perte de contrôle, la peur de l’échec et la peur de l’avenir.

Souffrances scolaires...du côté des enseignants

Si être Prof, était jadis « le plus beau métier du monde », il est désormais, pour beaucoup, source de désillusions, souffrances et frustrations. La récente actualité nous le prouve encore.

 

Mise en lumière sur le harcèlement,

 ce système relationnel qui dysfonctionne

 

Le harcèlement est une question de communication, de relations entre deux individus ou groupes, qui dysfonctionnent et s’emballent.

Ainsi, si on décrypte une situation de harcèlement sous un angle interactionnel, on peut envisager que dans ce système de réactions en chaine, à tout instant, les protagonistes peuvent arrêter l’emballement.

 

  • Le harceleur s’il se rend compte de ce qu’il génère et décide d’arrêter (il le fait rarement et pas de son initiative)

  • La victime si elle change sa réponse, sa posture face aux agressions (et elle peut le faire si on lui indique comment s’y prendre)

  • Et aussi les témoins s’ils osent arrêter de cautionner ou encourager un comportement par leur absence de réactions ou réactions au contraire (et ils peuvent le faire si on leur explique et s'ils ont une autre alternative)

 

Cessons d'étiqueter : 

pas de profil de victime, ni de profil de harceleur

 

  • Victime : portons un regard interactionnel et contextuel

Il n’y a pas de profil type de victime ou de harcelé. Ce n’est pas parce qu’on est gros, petit, maigre, bon élève, roux ou handicapé que l’on est harcelé… mais c'est parce qu’on n’assume pas une différence, à un instant T, et qu’elle nous rend vulnérable aux attaques.

  • Harceleur : soyons vigilants dans nos jugements

Il n'y a pas de profil type non plus. Certains enfants harceleurs disent qu’ils agissent en fonction de ce que les autres membres de la bande, attendent d’eux et non par vocation à malmener quelqu’un en particulier.

Le problème pour eux c’est le risque, en changeant, de perdre la place dans le système que les autres, leur ont permis d'obtenir. 

Certains harceleurs sont des anciens harcelés, mais même une amitié de toujours peut tourner au harcèlement.

Si d'aventure nous découvrons en tant que parents que notre enfant, est un "harceleur"...agissons avec bienveillance et réfléchissons plutôt à ce qui manque à notre jeune pour avoir besoin d’exprimer, QUI IL EST, de cette manière là.

Sortir du costume de victime durablement

En tant que psychopraticienne, je reçois des enfants en souffrances scolaires, dont certains subissent du harcèlement et qui me demandent de les aider à en sortir.

Mon métier consiste à les guider pour qu'ils trouvent en eux les ressources pour dire STOP, ou parfois aussi pour qu'ils envisagent un autre choix, dans la façon de vivre leurs relations entre pairs.

Pour me contacter ou prendre rendez-vous :

+ 33 7 83 13 53 11  ou alexia.therapeute@gmail.com

Séance en Visio ou en présentiel sur Meudon (92) ou Paris 15ème

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